Etiennette GOBET

Avec tes arrière-petits-enfants.

Avec tes petits-enfants.

Pour toi Maman des photos en souvenir de bons moments passés en famille.

Ety, Quand je suis arrivé dans votre famille, vous et Georges, m'avez accueilli à bras ouverts. Nos relations sont ensuite passées de cordiales à de l'affection, car vous m'avez rapidement considéré comme un fils de votre famille. Vous m'avez prodigué des conseils sans jamais les accompagner de pression inutile. Quand, plus tard, j'ai perdu mes parents, vous êtes tout naturellement devenue ma seconde maman et j'ai trouvé auprès de vous un réconfort discret et permanent. Je ne peux pas dissocier ce que vous avez fait pour moi de ce que Georges a fait aussi car vos actions étaient toujours intimement liées. Nous nous sommes cotoyés pendant 47 ans et avons eu la chance de passer beaucoup de temps ensemble : des vacances en France et à l'étranger, la découverte de villes inconnues qui attisait notre curiosité sans parler du plaisir de partager une bonne table ou un bon hôtel. Dans la famille, tout le monde a bénéficié de vos fous rires incontrôlables pour une blague, un jeu de mots ou en accompagnement de parties de cartes endiablées. J'ai eu la chance d'en avoir ma part et je vous en suis reconnaissant. Vous avez toujours été très attentive à être bien mise, élégante, tout comme Georges et j'étais fier de vous présenter comme mes beaux-parents. Vous avez su rester jeunes et cela répandait du bonheur autour de vous. Vous saviez recevoir et encourager les gens à venir vous rendre visite à Sourcieux. Vous y avez accueilli nos enfants Lionel et Grégory de très nombreuses fois depuis leur plus jeune âge, nous permettant, à Sylvie et moi, d'aller visiter des contrées lointaines que nous rêvions de découvrir. Vous avez largement participé à nous constituer une bibliothèque de souvenirs de lieux exotiques et culturellement enrichissants. Vous avez su être proche de beaucoup de gens et en particulier de mes parents. Vous avez fait ensemble quelques escapades, comme par exemple à Bernex pour rendre visite à Lionel ou Grégory pendant leurs séjours en classe verte. Vous avez soutenu ma mère quand mon père est décédé, démontrant à nouveau votre attention aux autres. Pour tout ce que vous avez fait pour nous et pour moi en particulier, je vous serai toujours reconnaissant, ainsi qu'à Georges et c'est pourquoi je n'oublierai jamais les bons moments passés ensemble et l'affection que vous m'avez témoignée. Merci Ety.

Merci Ety. Je garde un souvenir inoubliable de mes semaines de vacances à Sourcieux. Tu m'as permis de rencontrer mes "cousins" de Paris. Les petits déjeuners avec les paquets de céréales individuels, les apéros avec "les feuilles mortes" (au Pacific, je précise), les tournois de Ping pong, de fléchettes, de pétanques, les parties de Monopoly, récré A2, le jump jumper, les programmations avec l'ordinateur "Alice", les "ni oui ni non" dans le dortoir... Bref que de souvenirs... J'aurais toujours l'image de ce sourire qui ne disparaissait jamais de ton visage, ta tendresse, ta vivacité d'esprit et également tes vocalises ! Encore merci pour tous ces moments, encore merci de m'avoir fait connaître mes cousins de Paris avec qui nous avons passé des moments merveilleux... Merci, merci, merci Ety. Une grosse pensée à toute la famille, Georges, Gilles, Sylvie, Robert, Lionel, Gregory, Paul et tous les enfants et petits enfants

Cher Monsieur GOBET, ces quelques mots pour vous assurer de notre affection dans ces moments difficiles. Nous pensons bien à vous et à toute votre famille. Evelyne et christian MICHEL

Ety, c'est avec beaucoup d'émotion que nous t'avons accompagnée ce jeudi. Merci pour ta gentillesse et ta patience pendant les cours d'anglais que tu m'as donnés lorsque j'étais en 5ème. Jacques se souviendra de ton intérêt pour les technologies modernes, ce qui était rare pour une personne de ta génération à cette époque, et des conversations techniques qu'il avait avec toi quand tu lui demandais des conseils pour les branchements de ton magnétoscope. Avec toute notre affection à Georges et à tous les enfants.

Un jour le grand jardinier me confia Une plante d’une qualité très rare, et très belle ; « Je reviendrai la chercher » dit-il en souriant ; « Soigne-la bien, en la gardant pour moi. » J’en ai pris soin, et la plante a grandi, Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes, Belle et fraiche, comme l’aurore au printemps. Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal. De toutes mes fleurs, elle était la plus glorieuse, Son parfum, son aspect était merveilleux ; J’aurais voulu la garder, tant mon cœur s’y était attaché Pourtant, je savais qu’il reviendrait la chercher. Et voici, il est venu un jour me demander La jolie plante qu’il m’avait prêtée… Je tremblais ! Mais c’est vrai qu’il m’avait dit Qu’un jour il reviendrait pour me la réclamer. « C’est parfait », dit-il en respirant son parfum Alors, en se penchant, il a parlé doucement : « Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur, Je veux la transplanter dans mon jardin Là-Haut » Avec tendresse, il la prit et s’envola Pour la planter Là-Haut où les fleurs ne se fanent pas. Et un jour futur, dans ce jardin de Gloire, Je la retrouverai épanouie, et elle sera mienne.

A tatan Ety, Ta gentillesse, ton écoute, ta joie, ton élégance, ton dynamisme, ta générosité resteront à tout jamais dans mon coeur Que j'aimais aller à Sourcieux choisir parmi tous ces petits paniers celui que je prendrai pour cueillir des cerises, la balançoire, la table sous le tilleul, tous ces Noëls partagés en famille, les vacances à la mer et la jolie robe rayée que tu m'avais offerte, la jupe madras que tu m'avais cousue... et tes conseils aussi pour confectionner les coussins que j'avais offert à maman... Je penserai souvent à toi, je te souhaite un doux repos et je m'associe à la peine de tous ceux qui te sont chers Christine

Laure a inventé cette phrase en pensant à Grand'Ma : "Toute chose impossible dans la vie sera possible au paradis." On imagine alors Grand'Ma, ne pouvant plus chanter à Paris, qui chante maintenant aux Champs-Elysées.